L’autopartage prend de plus en plus d’ampleur à Paris pour améliorer la qualité de l’air atmosphérique. Ce concept de location de voiture en libre-service est l’alternative parfaite pour remplacer la voiture individuelle et pour instaurer la mobilité douce. Il faut savoir qu’une voiture en autopartage peut remplacer les autres en circulation, ça permet de réduire la congestion en ville, et du côté des conducteurs, d’économiser sur l’entretien, l’assurance et le stationnement de la voiture.
Le principe de l’autopartage
L’autopartage ou car sharing est le fait d’utiliser un véhicule de manière collective et organisée par un nombre indéterminé de conducteurs et d’utilisateurs. Le concept est réglementé par un contrat-cadre définissant les frais de carburant et d’électricité ainsi que les coûts d’utilisation. La première forme d’autopartage entre particuliers est le covoiturage. Maintenant, on fait face à l’autopartage commercial où les prestataires calculent au kilomètre près ou à la minute. Mais il faut savoir différencier le parc automobile libre ou free floating et les services à partir d’une station. D’après Aissa Hamada, dans le cadre du free floating, les voitures sont stationnées sur la voie publique, et les utilisateurs les trouvent grâce à une application.
L’autopartage, le stationnement
Dans le déploiement du service d’autopartage, la Mairie de Paris envisage 226 places sur voirie qui sont réparties en 113 stations. Le but est de permettre aux voitures en autopartage d’être plus visibles en dehors des stationnements souterrains où elles se trouvent habituellement. Les types de voitures proposées en autopartage sont des berlines, des citadines, des monospaces et des petits utilitaires. Il y a également des voitures hybrides et électriques. Le concept se passe seulement sur réservation et après inscription auprès des opérateurs. Parmi les opérateurs, on trouve Ubeeqo, Communauto, Zipcar, IER… Visite Paris ? Le prix de l’autopartage dépend de la durée de la location, du kilométrage et de l’assurance souscrite.
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